• Je ne porte pas de soutien gorge, et alors ?

    Cet article s'adresse plus aux filles, mais les garçons peuvent bien évidemment le lire aussi.

    Lorsque j'avais environs 12/13 ans, et que ma poitrine commençait tout doucement à se développer, ma mère m'a acheté des brassières - je suppose que vous voyez de quoi je parle : les petits bandeaux de tissus avec Hello Kitty ou des motifs girly dessus. Elle m'avait dit que ce serait bien que j'en porte, pour m'habituer. Mais je ne m'y suis jamais faite. Je ne me sentais pas du tout à l'aise avec ça sous mon t-shirt. Je n'osais pas faire de grand mouvement, de peur que ça remonte au-dessus de mes seins. Donc je les ai délaissé. Je me disais que je n'en avais de toute façon pas encore besoin.

    Puis le temps à passé. J'ai grandi, et j'ai continué à ne rien porté sous mes hauts. Ma poitrine n'est de toute façon pas très imposante - je dois faire du A, je suppose ; je ne l'ai jamais mesuré. Ma mère a continué à me dire que je devrais porter un soutien gorge, parce que sinon mes seins allaient tomber. Mais c'est totalement faux. Nos seins on un "soutien gorge naturel" : des muscles qui lui permette de se soutenir toute seule (comme une grande). Le fait de porter un soutien gorge - H24 je parle - la rend "fainéante" : les muscles oublient comment faire leur travail, et c'est à ce moment là qu'ils deviennent moins ferme et tonique. Sans compter le fait que, pour beaucoup de femmes, le soutien gorge n'est pas du tout confortable.

    C'est par ces informations qu'est né le mouvement No Bra. Des femmes ont décidé d'arrêté de porter cet accessoire qui les gênaient au quotidien. Beaucoup de Youtubeuses ont fait une vidéo témoignage à ce sujet, que je vous invite grandement à visionner. La plupart sont plus que satisfaites des résultats.

    Pour ma part, je continu à ne rien porter sous mes vêtements. J'avoue qu'il m'arrive de mettre une brassière lorsque j'ai un rendez-vous médical où je sais que je devrais me déshabiller - par respect pour le médecin - et le reste du temps je suis totalement libre. Cela ne m'a jamais empêché de m'habiller comme je le souhaitais, et mes seins se sont toujours très bien porté.

    Si vous aussi vous souhaitez essayer le No Bra, je vous encourage à le faire. Je vous conseillerais d'y aller progressivement : vous pouvez commencé par ne pas en mettre le week-end, où les jours où vous savez que vous n'aller pas sortir. Je sais que beaucoup de filles ont la sensation que lorsqu'elles sortent sans rien, les gens qu'elles croisent ne voient que ça. Cela aussi est totalement faux. Les passants ont autre chose à pensé. On se sent nu alors on a cette impression. C'est normal au début. Vous finirez par vous y habitué et par ne plus y pensé. Si vraiment cela vous gêne de ne rien avoir en dessous, je peux aussi vous conseiller de porter des brassières de sport, qui seront, j'en suis sûre, bien plus confortable qu'un soutien gorge.

    Je finirais cet article en disant que chacun est libre de ses choix. Certaines filles préfèrent porter des soutien gorges car elles ont une poitrine imposante - ou non - et elles aiment la sentir soutenu. Je respect totalement leur choix. Je voulais juste informé que le port de soutien gorge n'est en aucun cas obligatoire pour être féminine ; tout comme se raser ou avoir les cheveux longs.


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  • Comment je créé mes personnages ?Sur internet, j'ai trouvé beaucoup d'articles donnant des conseils pour créer des personnages. Personnellement, je trouve que ces articles sont bien, mais qu'il est préférable de les rendre vivants au feeling.

    J'imagine souvent mes personnages sur des coups de tête. Il naissent par hasard. Je cherche rarement à créé un profil particulier. Ils apparaissent dans mon esprit, et j'adapte mes histoires en fonction d'eux ; de leur tempérament, de leur background (leur vécu), etc... je vois ce que je peux en faire ; si je l'intègre au monde de Séraphine ou dans un monde à part entière.

    Je tiens aussi un carnet où je liste mes personnages. J'y note leur nom, prénom, je décris leur physique, ce qu'ils aiment, ce qu'ils déteste, etc... c'est pratique pour ne rien oublier d'important. Je conseils à chaque écrivains d'en tenir un.


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  • Voici une image représentant la façon dont j'imagine SéraphineDans cet article, je tenais à vous présenter Séraphine, l'héroïne du livre que je suis en train d'écrire. A droite, vous pouvez découvrir une image qui la représente (je tiens à préciser que je l'ai créé moi-même. Je ne l'ai pas volé à quelqu'un.) 

    Séraphine a onze ans. C'est une jeune fille pleine d'énergie qui adore s'amuser et découvrir de nouvelles choses. Elle est très curieuse et rien ne l'effraie ; au contraire, elle adore le danger. Sa mère lui a transmis ses croyances aux entités paranormales -Fées, Sirènes, Anges, Démons, etc...- Séraphine était très proche de cette dernière. Elles avaient une relation fusionnel, et la jeune fille à été en partie détruite par sa mort. Cette disparition l'a encore plus éloigné de son père, avec qui elle avait déjà du mal à s'entendre. 

    Séraphine est un personne très emphatique : elle arrive à se mettre à la place des autres et comprends leur ressentit. La raison est qu'elle a beaucoup souffert tout au long de sa vie ; elle sait donc ce que ça fait d'avoir mal et fait toujours tout ce qui est en son pouvoir pour aider et rendre les autres heureux. 

    Elle a également un style vestimentaire assez atypique : elle porte un jean's, une chemise et une veste longue, tous blanc, agrémenté de converses et d'un noeud papillon rouge. Elle s'habille tous les jours de la même façon, en adaptant les vêtements selon la température (par exemple en été elle mettra une chemise à manche courte -toujours blanche- et peut-être un short -blanc aussi).

    Séraphine est parfois naïve. Elle se se rend pas compte de certain pièges et tombe dedans la tête la première. Mais elle finira toujours par trouver un moyen de s'en sortir. Elle est également très lunatique et part souvent dans des délires dont seul elle a le secret ; ce qui amène certaine personne à pensé qu'elle est débile -notamment son père.

     

    Voilà pour la présentation de Séraphine. Je ne vais pas vous en dire plus pour ne pas gâché la lecture de mon livre -si j'arrive à le terminer un jour...


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  • Cette question me revient sans arrêt : maison d'édition ou auto édition ?

    J'ai beau retourner le problème dans tous les sens, je n'arrive pas à choisir. 

    Je me dis que l'auto édition serait le moyen le plus simple pour me publier et garder le contrôle sur mon livre ; et d'un autre côté, j'ai peur que par cela personne ne le lise. Car lorsque vous vous auto éditez, vous devez faire vous-même la pub de votre roman. Tandis qu'avec une maison d'édition, c'est eux qui s'occupe de ces choses-là.

    C'est vraiment une de mes grosses craintes : que personne ne lise mon livre. J'ai peur qu'il tombe dans l'oubli. Je sais que c'est beaucoup trop tôt pour y pensé, mais c'est important.

    Que choisiriez-vous si vous étiez à ma place ? Maison d'édition ou auto édition ?


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